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Economie

Analystes : les plus bavards ne sont pas les plus fiables

Arnaud

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C’est toujours le petit délice d’après annonce de résultat : la compilation des bons et mauvais points distribués aux analystes par Philip Elmer-DeWitt, qui croise prédictions et résultats pour obtenir un classement des analystes les plus, et les moins, fiables.

Ce trimestre, c’est Scott Craig de Merrill Lynch, qui s’en tire le mieux, avec une marge d’erreur de 5,6 % (il était second le trimestre précédent), suivi d’un analyste non professionnel, Daniel Tello.

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Évidemment, c’est en queue de classement qu’il y a le plus matière à rigolade, avec cette maxime : «ce ne sont pas ceux qui parlent le plus qui prédisent le mieux, c’est même tout l’inverse». Ainsi le fringant Gene Munster pointe à la 36e place sur 39, d’où il regarde avec envie Kathy Huberty de Morgan Stanley, qui se classe 26e. Peter Misek, de Jefferies, qui défrayait la chronique en prédisant un iPhone 6 100 $ plus cher que les modèles actuels, s’adjuge une peu glorieuse 35e place.

The best and worst Apple analysts: Q2 2014 edition