La guerre de Corée dans le lave-linge
Une boutique contacte la police qui examine les images de vidéo-surveillance et découvre que l’un des “malfaiteurs” est vraisemblablement le patron de la division électroménager de LG en personne, Jo Seong-jin. Embarras chez LG, qui achète les machines abimées. Chez Samsung, on hurle au scandale, LG cherchait à détériorer l’image de marque du groupe.
Contre attaque de LG : «les machines à laver d’une certaine entreprise semblent dotées de charnières bien plus fragiles que celles d’autres entreprises», lance la direction qui ajoute que si elle avait voulu nuire à l’image de Samsung, elle aurait envoyé des gens plus discrets et moins haut placés dans sa hiérarchie. Samsung n’en peut plus de «ces accusations diffamatoires sur le fait que nos machines à laver seraient défectueuses», et porte plainte, le 14 septembre.