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Périphériques et accessoires

James Cameron veut des drones qui filment mieux

Arnaud

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Le développement rapide des drones volants qui filment s’est accompagné d’une prise en compte plutôt anarchique par les législations nationales du phénomène. En France, c’est une quasi interdiction qui prévaut, même s’il est évident qu’elle freine le développement d’une nouvelle industrie. La Nouvelle-Zélande adopte une approche très différente et espère devenir le paradis des réalisateurs aériens. Une compétition, C-prize, visant à faire émerger des drones plus performants en matière de vidéo, a reçu, dans le pays, un soutien de poids en la personne de James Cameron, le réalisateur à succès.

« Je suis un adepte des nouvelles technologies et je commence à vraiment aimer les drones comme plateforme pour filmer. N’importe quelle amélioration qui peut être obtenue en matière de stabilité et de bruit permettra à cette technologie d’être utilisée pour des shootings de classe mondiale. C’est ce qui m’excite dans le C-prize : des équipes peuvent développer des technologies de réduction du bruit, d’amélioration de la stabilité et des capacités de tracking », indique-t-il sur la page du concours. Celui-ci est encore ouvert pour 47 jours avant que ne soient désignés les lauréats. Le vainqueur recevra un prix de 50 000 NZ$, tandis que 10 000 NZ$ iront à chacun des 6 finalistes.

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