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OS X Yosemite

Apple vient tout juste de livrer son dernier opus en pâture aux développeurs et force est de reconnaître que l’impact visuel de Yosemite est aussi fort que celui de son prédécesseur Aqua lancé il y a de cela 14 ans. Découverte !

Cedman

Publié le

 

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Ce qui frappe lors du premier lancement d’OSX Yosemite, c’est l’aspect de finesse et de légèreté, le remplacement de la fonte Lucida par l’Helvetica Neue, du thin au bold n’y étant probablement pas étranger. Lors des écrans de paramétrages suite au premier lancement, on note toute de suite les nouveaux éléments d’interfaces, cases à cocher et autres boutons radio arborent leurs nouvelles robes. Quelques bugs graphiques concernant la gestion de transparence et de l’effet de flou sont également présents. C’est le lot de toute version bêta.

Dès l’arrivée sur le Finder on se sent pleinement chez soit, pas d’énormes changements à première vue et pourtant tout est visuellement nouveau : Dock, icônes, couleurs, transparence tout y est passé a la moulinette Ive iOS 7. Le résultat est, admettons-le, plutôt réussi contrairement à iOS 7. On sent que les critiques ont porté leurs fruits. Les puristes noteront en passant quelques inter-lettrages un peu osés (l’espace étant resserré à son maximum sur les écrans de titre). Attention, tout n’est pas tout rose, tout comme iOS 7 il y a des non-sens du point de vue de l’interface utilisateur. Par exemple le manque de barre titre dans des fenêtres d’action et des boutons d’actions de couleurs identiques, le tout créant un sentiment de confusion et d’absence de contexte : je suis où, je fais quoi ?

Gardons à l’esprit que OSX Yosemite est toujours hautement en chantier et que les nombreux plantages sont là pour le rappeler.

Changement important : le comportement des boutons de fenêtres du Finder. Lorsque vous cliquez sur le bouton vert, celui-ci vous fera basculer en mode plein écran, idem pour les apps. Si vous souhaitez juste redimensionner la taille de votre fenêtre, il vous faudra en passer par la touche « option » de votre clavier.

Côté nouveauté, Alfred Spotilight est vraiment bien et est, sans conteste, une véritable plus-value. Le Dashboard et ses Wigdgets sont morts et enterrés, enfin non, pas complètement puisque pleinement intégrés au centre de notification. En espérant que cela lui donnera une nouvelle vie. En passant le fait de vouloir ajouter de nouveaux widgets renvoie vers l’AppStore, donc il semble que les développeurs pourront tirer profit de leur travail cela voudra probablement dire un plus grand nombre de widgets disponibles.

Ne coter Préférences Système pas grand-chose de nouveau si ce n’est un nouvel arrivant : extension. Celui-ci permet de gérer les services annexes permettant d’ajouter des fonctionnalités directement au coeur du système comme Dropbox par exemple ou encore le tout nouveau Markup pour annoter vos images dans Mail.

Family Sharing est également de la fête, bien caché dans les options d’iCloud. Le Dark mode, qui permet d’assombrir la couleur de l’interface pour les pros, lui ne semble pas faire parti de cette version développeur, du moins nous n’avons pas trouvé comment l’activer.


 

Le nouveau Safari s’avère beaucoup plus rapide dans le rendu des pages et donne la nette impression que l’interface du navigateur est invisible. On plonge directement au coeur du contenu que l’on visite.

Plans aussi est évidemment adapté au nouveau look.

Voilà pour un rapide aperçu et nos impressions. Nous reviendrons bien sûr plus en détail sur OS X Yosemite dans les jours à venir le temps de s’approprier les nouveautés en profondeur. N’hésitez pas à poser vos questions à la redac et nous nous ferons une joie d’investiguer et de répondre à vos questions sur cette nouvelle version du système.