iMessage désespère la police américaine
D’ici à dire qu’Apple s’est rangée du côté des malfrats serait cependant aller un peu vite en besogne. Cupertino se réserve ainsi le droit de communiquer avec les autorités toute information sur un suspect, lorsque celles-ci le demandent. Cependant, le constructeur n’a pas implémenté de backdoor dans iMessage, comme le réclame les régulateurs auprès des opérateurs téléphoniques (mais Apple n’est pas opérateur).
En octobre dernier, Apple annonçait l’échange de 300 milliards de message via son logiciel iOS et OS X. Nul doute que ce chiffre n’a cessé de grimper depuis, et que des conversations illégales s’y tiennent… à l’abri des grandes oreilles de la police.