Ce n’est qu’un au revoir
Aah, que c’est triste, les au-revoirs… Celui-ci est particulièrement pathétique, puisqu’il s’agit de celui de Bill Gates qui, avec deux ans d’avance tout de même, convoque ses petits amis (enfin, un seul petit ami, Steve Ballmer) et lui-même pour une explication de sa future retraite. À regarder la larme à l’œil.