iSync 1.0 et iCal 1.0.1 en ligne

Apple annonce ce Jeudi 2 Janvier la disponibilité immédiate d’iCal 1.0.1 ainsi que de iSync 1.0 au téléchargement.

iCal est un calendrier électronique dont la principale innovation est de pouvoir être consulté, voire “partagé” via le web. Synchronisé en temps réel, il vous permet ainsi d’être “raccord” avec les changements de plannings à la dernière minute de votre equipe de travail, voire de votre équipe de basket favorite… Le succès est bien réel : depuis sa sortie en Septembre, plus d’ 1 million de copies d’iCal ont été téléchargées et plus de 200 000 calendriers ont été publiés en ligne, malgré la nécessité de disposer d’un serveur WebDav ou d’un compte .mac pour celà, ou de passer par un site spécialisé comme iCalShare.com par exemple…

Quand à iSync 1.0, jusqu’ici disponible en version bêta, il fonctionne de façon parfaitement intégrée avec le Carnet d’Adresse de Mac OS X Jaguar et iCal, et synchronise votre Mac avec votre mobile via Bluetooth, votre PDA ou iPod voire un autre Mac si vous avez opté pour la solution web made in Cupertino.

En tout état de cause, il pourrait bien y avoir finalement du Bluetooth dans l’air et du iBidule sous roche, comme semblait le penser Marc Geoffroy dans les colonnes de VNUNet la semaine dernière. Cette mise à jour, à moins d’une semaine maintenant de la MacWorld Expo de San Francisco, semble bien marquer pour Apple la volonté de faire du style de vie numérique la clef de voûte de sa reconquête des parts de marchés perdues, alors que le mastodonte de Redmond s’ébranle en commençant seulement[[2 ans de gestation : comme chez tous les pachydermes, la gestation est longue ;-p]] de pousser son .net[[sans que l’on sache bien ce qu’il y a dedans, d’ailleurs…]], espérant sans doute récupérer une fois de plus à son profit des marrons tirés du feu par d’autres…

Avant de télécharger, veuillez bien noter que les deux applications nécessitent Mac OS X 10.2.3 pour fonctionner et sont fournies pour l’instant en anglais ;-p
– Apple
– iCal
– iSync
– l’iPothèse de Marc Geoffroy