Le classique à l’heure du téléchargement
Libération consacre aujourd’hui sa “deuxième une” à l’univers des maisons de disques de musique classique. En effet, si du côté de la la “musique populaire” les majors ont déjà adopté en masse les technologies de vente de fichiers, ce n’est pas le cas du monde du classique. Et oui, si un amateur de pop s’accomode de fichiers compressés à 128kbps voire 192kbps, ce n’est pas le cas des amateurs d’opéra ou de musique de chambre qui restent attachés au son numérique linéaire du CD (support souvent qualifié d’obsolète).
Néanmoins la bande passante de nos accès à Internet n’arrêtant pas de s’élargir, des offres commencent à voir le jour…