Pas si libre, l’Android
Finalement, il n’est pas si mal de pouvoir contrôler un tant soit peu ce qui passe dans sa maison. Google, qui avait promis que les développeurs pourraient mettre à disposition sur l’Android Market n’importe quelle application, est en train de s’adonner à un petit exercice de rétro-pédalage.
Il faudrait en effet éviter des péripéties malheureuses comme l’affaire de l’application « I am rich », vendue 999$ sur l’AppStore… Du coup, Google a confirmé que sa boutique d’applications en ligne disposerait d’un dispositif permettant de supprimer à posteriori les applications litigieuses. Cela devrait finir par arriver, car l’Android Market sera plus ouvert que l’AppStore, Google ne donnant pas de feu vert préalable à la mise en ligne d’une application…