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Steve Jobs : arrêté pour un excès de vitesse

iMike

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Steve Jobs n’a pas révélé tous ses secrets. Un dossier du Pentagone, rendu public par Wired, indique ainsi que le futur fondateur d’Apple était un bien mauvais garçon : pris en flagrant délit d’excès de vitesse, il n’avait pas réglé l’amende de 50$ qui lui avait été infligé à l’époque. Lors d’une arrestation ultérieure (pour soupçon de possession d’alcool en tant que mineur) à Eugene, dans l’Oregon, la police a découvert que Jobs n’avait pas réglé cette amende. Après son règlement, le jeune Steve a pu repartir libre.

Cette enquête a été menée par les autorités américaines en 1988 : Jobs craignait alors que quelqu’un pourrait kidnapper sa fille avec l’intention de le faire chanter. Cette demande de protection s’accompagnait d’une enquête de personnalité, durant laquelle il n’avait pas cru bon de préciser cet incident; Steve Jobs s’expliqua alors en indiquant qu’il ne pensait pas que cette affaire représentait une arrestation en bonne et due forme.

En revanche, Jobs a bien précisé aux enquêteurs avoir créé une Blue Box afin de passer des appels longue distance pour pas un sou… et d’avoir essayé bon nombre de drogues, avec force détails : entre 1972 et 1974, il a ainsi pris entre 10 et 15 fois du LSD, sous forme de cube de sucre ou en gélatine. «Je peux dire que cela a été une expérience positive pour moi, et je suis heureux d’avoir eu cette expérience», explique t-il. Sa dernière prise de marijuana date elle de 1977.

Autre révélation de ce document : une visite en Union Soviétique datant de 1985, dans l’espoir de monter un réseau de distribution de Mac. Il y avait été introduit par un avocat basé à Paris, dont Jobs avait le sentiment qu’il travaillait pour la CIA ou le KGB. La visite de deux jours n’a cependant pas donné beaucoup de résultats…

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