Jay-Z chez Samsung : spam musical
Pour pouvoir être lancée, l’application demande l’accès à toutes les données privées de l’utilisateur, du stockage aux informations de localisation, en passant par la lecture des numéros des appels entrants et sortants. Au contraire d’iOS qui, poli, demande la permission, Android ne s’embarrasse pas de ces préventions une fois que l’application a été téléchargée et lancée. Ça n’est pas tout. Pour pouvoir lire les paroles des morceaux, il faut accepter de mettre en ligne sur son compte Facebook ou Twitter un statut à la gloire de l’album – heureusement, Samsung a une phrase toute faite qu’il est heureusement possible d’éditer, mais un tweet ou un statut devra être posté pour « débloquer » chacune des chansons ! Du spam, en quelque sorte. Heureusement que l’album est en libre distribution sur l’internet interlope…