Épidémie d’écrans craquelés

Oubliez la grippe H1N1, la véritable épidémie de cette fin d’été concerne uniquement la France et les iPhone aux écrans craquelés ! Après l’histoire de ce retraité (lire «Ecrans d’iPhone : dès le 21 juillet ?»), LCI nous décrit deux nouveaux cas d’écrans en délicatesse.

Olivier, 40 ans, est très remonté contre Apple : «Ils m’ont pris pour un zouave. Je ne suis pas mythomane, j’ai 40 ans, j’ai autre chose à faire. Mon iPhone n’est jamais tombé. Si je l’avais trouvé cassé dans ma poche, j’aurais d’ailleurs eu un doute mais je ne comprends pas qu’Apple nie le problème plutôt que de faire un geste commercial pour ces cas exceptionnels». Son iPhone s’est fissuré en deux parties, comme on le voit sur cette image :

Olivier est prêt à aller jusqu’au bout : «Si une class action s’organise en France ou aux Etats-Unis, j’en serai. Même si ça me coûte en tout 10.000 euros, j’irai jusqu’au bout». Rappelons que les class action n’existent pas en France.

Deuxième cas, celui de Fabrice, qui jure n’avoir jamais fait tomber son iPhone. D’ailleurs, il en prend grand soin : «Mon iPhone, c’est comme ma deuxième femme, j’y tiens comme à la prunelle des mes yeux». De son côté, TechNotes tient à jour une carte de France des iPhone aux écrans problématiques :

Ce sont dix cas qui sont aujourd’hui répertoriés, sans qu’on sache s’il s’agit d’iPhone 3G ou 3GS, de quels opérateurs ils proviennent ou s’ils sont issus d’une même série.

LCI, TechNotes