Intel aurait pu motoriser le premier iPhone
Apple s’est donc tourné vers Samsung pour développer et produire le processeur nécessaire au bon fonctionnement du premier iPhone. L’architecture choisie a été ARM, ce qui a propulsé ce type de puce qui équipe la grande majorité des terminaux mobiles… aux dépends d’Intel, dont les solutions pour les smartphones et les tablettes n’ont jamais connu le succès. «La leçon que j’en tire», conclut Otellini, est que «tandis que nous aimons parler avec des données autour de nous, bien des fois dans ma carrière j’aurais dû prendre des décisions avec mes tripes, et j’aurais dû suivre ce que me disaient mes tripes». Pour l’iPhone, ses «tripes me disaient oui». Trop tard.