Opera Software à la quête d’un repreneur
Emblématique navigateur web de l’ère des téléphones sous Java, Opera n’a pas su rebondir depuis l’avènement des smartphones et l’abandon progressif de sa technologie propriétaire – Java -. Ses dernières tentatives musclées ayant essuyé des échecs, l’ex-géant du navigateur cherche à se faire racheter.
Comparé aux quatre principaux capitaines de vaisseaux (Safari, Firefox, Internet Explorer et Google Chrome) Opera peine à se refaire une place de choix. Le navigateur affiche moins d’un pourcent de parts de marché sur ordinateur et environ cinq pourcent sur mobile.
Les chiffres financiers eux non plus ne sont pas très reluisants puisque la société perd continuellement de l’argent depuis les 3 dernières années fiscales et poursuit sa descente aux enfers en multipliant les licenciements.
Les dés semblent donc jetés pour la firme qui a annoncé sur Newsweb.no, la plateforme informationnelle de la bourse norvégienne, s’être rapprochée d’ABG Sundal Collier et Morgan Stanley International qui serviront de conseils en stratégie, en attendant un éventuel repreneur.
