iPhone et iPad à tous les étages chez les juges américains
Apple est un habitué des cours de justice américaines, entre les procès contre Samsung, les chicailles avec Google et les patent-trolls qu’il convient de renvoyer dans leurs grottes. Ce que l’on sait moins c’est que les cours de justices américaines sont tout aussi habituées à utliser massivement des appareils pommés, de l’iPhone, à l’iPad en passant par les Mac toujours très présents dans les cabinets d’avocats.
Cette forte présence des outils Apple dans l’enceinte judiciaire s’apparente en fait à un quasi monopole; si l’on en croit les résultats d’un étude sur le sujet, OS X dominerait Windows dans les cours de justice, culminant à 66% de Pdm contre 34 pour l’OS de Redmond. Mieux encore, Apple aurait progressé de 10 points sur un an.
La supériorité des solutions d’Apple s’exprimerait avec encore plus de poids dans le secteur mobile puisqu’iOS attendrait 74% de Pdm contre 18 à Android, enregistrant au passage un bon de 12 points par rapport à l’année 2012.
Si ces résultats ne permettent pas de transposer stricto sensu dans d’autres secteurs professionnels que la justice, ils restent néanmoins un bon indicateur du fait que les solutions d’Apple semblent de plus en plus prisées du monde professionnel, au point maintenant de faire de l’ombre à ses principaux concurrents qui se réservent la portion congrue du marché. Quant à l’influence possible de cette présence d’Apple dans les jugements rendus par les différentes cours de justice, le simple rappel du verdict dans l’affaire des iBooks suffira sans doute à la considérer comme nulle.
