Amazon plante un nouveau clou dans le cercueil de Flash
Amazon invoque des raisons techniques, fort logiques : «de moins en moins de navigateurs supportent le logiciel d’Adobe. Ce choix est motivé par les récents changements de réglages de Chrome de Google, et les réglages déjà en place sur les navigateurs Mozilla Firefox et Safari d’Apple, qui limitent l’affichage de Flash dans les pages». Après l’appel à la mise à mort lancé par Alex Stamos, le chef de la sécurité de Facebook, les pubs Flash vérolées chez Yahoo, les failles exploitées par la Hacking Team puis d’autres hackers, les jours de Flash semblent comptés.