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Test : les iPhone 6 & 6 Plus à l’usage

Les iPhone 6 et 6 Plus sont là. Grands, ou très grands, avec un design largement revu, et des caractéristiques techniques en progression. Mais qu’en penser ? Représentent-ils un véritable saut dans la gamme des iPhone, ou une simple mise à niveau de la génération précédente ?

Arnaud

Publié le

 

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Les iPhone 6 et iPhone 6 Plus marquent une réelle rupture dans la gamme, en adoptant une taille d’écran supérieure, voire bien supérieure aux anciens iPhone. Ce changement de taille s’accompagne d’un nouveau design, qui abandonne les angles saillants, pour des courbes plus douces. À l’intérieur, les changements sont significatifs, mais plus incrémentaux que vraiment majeurs. Un processeur A8, version améliorée du A7, un GPU plus musclé, un processeur de mouvement M8 plus économe et capable, et une puce cellulaire qui améliore la bande passante 4G. Est-ce assez pour qualifier ces iPhone de « plus grande avancée dans l’histoire des iPhone », comme le rabâche Tim Cook ? Réponse dans notre test !

Les grands écrans et leur revers

Le lancement des deux modèles d’iPhone de 8e génération – iPhone 6 et iPhone 6 Plus – marque un changement profond dans la lignée des iPhone, qui changent de taille, littéralement. Le plus petit modèle, l’iPhone 6 embarque un écran de 4,7″, contre 4″ pour les iPhone 5s et 5c. Et que dire de l’iPhone 6 Plus et son écran de 5,5″ qui lorgnent clairement sur le domaine des phablets. En adoptant des écrans plus grands, Apple, si l’on peut dire, mange son chapeau : la Pomme n’a eu de cesse, jusqu’alors, de clamer que la taille des iPhone 5 était idéale, et maximum pour pouvoir utiliser son appareil d’une seule main. En adoptant des écrans plus grands, Apple suit le marché, et répond sans doute à une demande des utilisateurs. L’excellente tenue des ventes semble confirmer la pertinence de ce choix. Et de nombreux commentateurs saluent là une entreprise plus à l’écoute de ses clients, une posture bien différente de celle adoptée par Steve Jobs, qui aimait citer Ford pour estimer que les clients ne savent pas ce qu’ils veulent, avant que l’on leur montre.

Paradoxalement au regard du succès de cette gamme, nous restons dubitatifs sur ce choix, surtout en considérant l’iPhone 6. Sur ce modèle, l’écran est plus grand que sur les anciens, mais la différence reste relativement modeste, elle ne change pas en tout cas la nature du téléphone. Et cet écran un peu plus grand change l’utilisation intime de l’iPhone. Même avec des mains ordinaires et masculines, toute une partie de l’écran située à l’opposé du pouce est inatteignable, l’équivalent d’une icône sur le SpringBoard. Avec un peu d’habitude, cependant, on adapte légèrement sa prise, et ce défaut devient moins ennuyeux. Il ne disparait pas totalement : avec l’iPhone 6, l’utilisateur se retrouve à modifier fréquemment sa prise en main, selon s’il téléphone ou consulte des apps, selon qu’il veut atteindre le bouton home, ou l’icône en haut à gauche de l’écran (pour les droitiers). Évidemment, une fois cette nouvelle prise en main devenue instinctive, on est frappé, en repassant sur un Phone 5, par le côté riquiqui de l’écran. Mais on regrette quand même sincèrement qu’Apple n’ait pas proposé un modèle d’iPhone 6 avec un écran de 4″, pour les utilisateurs fidèles à l’idée qu’un téléphone doit pouvoir s’utiliser confortablement d’une seule main.

Le cas de l’iPhone 6 Plus est différent : l’écran est si grand – et d’une extrême qualité – que l’utilisation de l’appareil d’une main est vraiment acrobatique. On ne mesure le potentiel de cet engin que lorsqu’on accepte l’idée qu’il s’utilise à deux mains. Il offre alors un confort vraiment séduisant. À l’inverse, quand il faut l’utiliser d’une main, l’iPhone 6 Plus n’est pas rassurant : sa tenue en main est médiocre, les bords arrondis, très agréables au toucher, donnent une impression qu’il est facile de laisser glisser l’appareil. Heureusement, l’utilisation d’une coque – nous avons adopté celle d’Apple en silicone – améliore énormément la prise et éradique ce sentiment de relative insécurité.

Pour limiter l’effet agrandissement de l’écran et permettre l’utilisation d’une main, Apple propose une astuce d’interface : un double tap sur le bouton Home fait glisser l’écran vers le bas pour rendre les boutons du haut accessibles d’une main. Sincèrement, nous n’avons pas trouvé cette méthode très naturelle : revenir au bouton home alors qu’on a la main sur l’écran n’est pas pratique, et oblige à changer la prise en main. Et que dire de cet écran qui coulisse et dégage un vaste espace noir en haut de l’écran ? C’est vilain, pour le dire gentiment. L’ensemble nous fait plus penser à un cache-misère qu’à une fonctionnalité murement réfléchie.

Le design

L’iPhone 6 pèse, à quelques grammes près, le même poids que l’iPhone 5s ; il semble pourtant plus léger, du fait de sa surface plus grande. Les bords arrondis de la coque unibody aluminium rendent la tenue en main agréable, mais, on l’a déjà dit, peu sécurisante. L’appareil a gagné un millimètre de finesse, mais avec une optique qui devient légèrement protubérante. Beaucoup de commentateurs ont déploré ce point, mais nous ne l’avons pas trouvé, pour notre part, gênant. Au contraire, nous avons apprécié le fait qu’Apple ait placé la qualité photographique au premier plan, quitte à devoir laisser légèrement dépasser l’optique, pour maintenir une distance respectable avec le capteur. Le résultat, nous y reviendrons en détail, est excellent : les iPhone 6 sont d’excellents boitiers photo, réalisant des clichés de grande qualité dans presque toutes les conditions. DXo Marks, le classement établi par l’éditeur de DXo Optics Pro classe d’ailleurs l’iPhone 6 premier dans la catégorie des smartphones.

Le point le plus réussi, au niveau du design, est la légère courbure des bords de l’écran. Un détail qui fait une grande différence à l’utilisation : porter l’iPhone à l’oreille est très agréable, une sorte de caresse, qui tranche avec le côté anguleux des iPhone 5 et 5s. Pour le reste, Apple a déplacé le bouton d’alimentation des iPhone, qui se retrouve désormais sur le bord supérieur droit de l’appareil, et plus en haut à droite. Il tombe logiquement sous le doigt, mais oblige à un changement dans la relation intime qu’on entretient avec ces smartphones. Il ne faudra que quelques jours, rassurez-vous, pour retrouver naturellement ce bouton, à son nouvel emplacement.

Les antennes ont beaucoup fait jaser. Indéniablement, elles cassent un peu le design global des iPhone 6, mais sont plus ou moins visibles selon le choix de couleur de l’iPhone. Sinon le “préjudice” esthétique – dont chacun sera juge – lié à ces antennes ces iPhone 6 s’inscrivent dans le niveau habituel du design des iPhone : l’ensemble est assemblé avec précision, les boutons, légèrement revus, et rangés, pour les deux de volumes, dans une petite rainure sur le bord de la coque, tombent bien sous la main. Le bouton silence, plus fin que sur les iPhone 5s, est rassurant et n’a pas tendance à se bloquer dans une position intermédiaire, comme ça peut arriver sur les anciens modèles.

Photo et vidéo

DXo Marks, le classement établi par l’éditeur de DXo Optics Pro place les iPhone 6 premiers dans la catégorie des smartphones. Pourtant, Apple a conservé un capteur 8 millions de pixels, sans s’engager dans la course aux 12-20 millions de pixels qu’on retrouve chez la concurrence. Le choix est évidemment judicieux, non seulement parce que les iPhone 6 font d’excellentes photos, mais aussi parce que le stockage forcément limité des smartphones ne doit surtout pas s’encombrer de millions de pixels inutiles, qui augmentent le poids des images, sans en améliorer la qualité, ce qui est souvent le lot des capteurs à très grande densité de photosites, qui génèrent, notamment, un bruit nettement plus important entre les pixels. Ceci étant posé, il n’est pas inutile de disposer d’un peu plus de pixels, pour pouvoir s’ouvrir des marges de manœuvre en recadrage. Mais nul doute que cela viendra, lorsque la Pomme considérera que ces capteurs sont d’une qualité suffisante (et d’un prix acceptable évidemment).

Le capteur photo embarque de gros photosites – 1,5 µ – et l’optique, dont la lentille frontale est en saphir, propose une ouverture très confortable ƒ2,2. Apple revendique d’ailleurs un gain de 81 % au niveau de la lumière que reçoit le capteur lors de la prise de vue par rapport aux iPhone 5s. De fait, il est possible de photographier dans quasiment toutes les circonstances, y compris dans les pièces faiblement éclairées. L’appareil photo est donc très bon, mais il n’est pas si considérablement meilleur que celui des iPhone 5s.

En comparant des clichés dans des conditions de lumière difficile, on constate un bruit moindre, qui de fait améliore la netteté de l’image, mais la différence demeure assez ténue entre le 5s et le 6. L’iPhone 6 Plus utilise sa stabilisation optique pour adopter une sensibilité plus basse qui génère moins de bruit (80 iSO, contre 320 ISO pour l’iPhone 6 et l’iPhone 5s) et une vitesse d’obturation moindre (1/4s contre 1/15e de seconde pour l’Phone 6 et l’iPhone 5s)




La grande nouveauté en matière de photo vient de l’autofocus à détection (ou à contraste) de phase. Au lieu d’évaluer la netteté en comparant la luminosité des photosites – si elle est voisine sur tous les pixels adjacents, le système évalue que l’image n’est pas nette (le flou diffuse la lumière), et ajuste les lentilles pour améliorer ce différentiel lumineux entre photosites voisins. Lorsque ce différentiel, après avoir augmenté commence à diminuer, le système revient en arrière et détermine que l’image est en focus. C’est ce qui explique le va-et-vient, le tâtonnement – flou – net – flou – puis retour au net – lors de la phase de mise au point sur les iPhone d’ancienne génération.

Sur les iPhone 6 et 6 Plus, on trouve donc un système de détection de phase, un dispositif mis en œuvre pour la première fois en 1985 par Minolta pour son réflex 7000 AF, et réservé à ceux -ci jusqu’en 2010, moment où Fujifilm a dévoilé un compact avec autofocus à détection de phase. Pour schématiser, à outrance, ce système repose sur le même principe que les télémètres, à savoir comparer deux images jusqu’à ce qu’elles se superposent parfaitement. Sur un télémètre, ce sont deux systèmes optiques qui réalisent les deux images, sur un système à détection de phase, c’est l’image qui est considérée en deux moitiés distinctes, mais le principe reste le même : on juxtapose deux images pour qu’elles coïncident sur le même plan. L’avantage de ce système est que lorsque le sujet n’est pas dans la zone de netteté, la différence entre les deux images permet de savoir si la netteté se situe en amont, ou en aval, évitant le tâtonnement des autofocus. Dans les faits, ce système bénéficie à la mise au point photographique, qui est plus rapide – mais peut rester délicate en condition de lumière difficile – mais surtout aux vidéos, qui savent ajuster bien plus rapidement leur focus et s’adapter ainsi à un sujet en mouvement.




La seconde nouveauté vient de la stabilisation optique, qui n’est proposée que sur l’iPhone 6 Plus. Le principe, là aussi, est assez simple : une pièce mobile vient compenser les mouvements de l’optique, un peu comme si celle-ci flottait, ce qui stabilise la prise de vue. L’avantage, en vidéo, est flagrant. Pour les photographies, c’est vrai et moins vrai : on réalise des clichés plus nets dans des conditions d’éclairage correctes, mais parfois, en faible lumière, on obtient des photos plus floues qu’avec l’iPhone 6, non stabilisé. Apple s’appuie sur son stabilisateur pour augmenter le temps d’exposition et/ou la sensibilité (l’ouverture demeure fixe sur les iPhone) jusqu’à la limite du bougé, et parfois cette imite est atteinte. La stabilisation optique, en effet, ne réalise pas de magie : elle ne peut compenser que des mouvements de faible amplitude. Mais, ce risque de bougé, sur l’iPhone 6 Plus, demeure peu fréquent. Globalement, la stabilisation optique permet d’obtenir des images mieux définies, et avec moins de bruit, conséquence d’un temps de pose plus long, et/ou d’une sensibilité plus élevée.



Les iPhone 6 et 6 Plus disposent d’un mode ralenti amélioré par rapport aux iPhone 5s et 5c, capable d’enregistrer 240 images par seconde, en HD 720 p (1024×720 pixels). De fait, il est possible d’obtenir des ralentis 10 fois, moyennant, bien sûr, un poids de fichiers assez conséquent (comptez 140 Mo pour 30 secondes de vidéo, dont vous pourrez ralentir la lecture jusqu’à ce qu’elle dure 300 secondes, à 24 i/s).

Le mode 240 i/s des iPhone 6 et 6 Plus génère un fichier HD 720p, avec une compression plus élevée qu’à l’habitude, aboutissant à une perte de piqué de l’image parfois notable. D’autres paramètres contribuent à rendre l’exercice parfois périlleux : la fréquence des éclairages peut parfois être perceptible dans les vidéos, et l’image, dans les basses lumières, souffre d’un bruit de compression parfois visible. Mieux vaut des scènes bien éclairées. Sorti de ces limitations, ce mode incite à explorer tout ce que notre environnement compte d’éléments dynamiques. La distance de mise au point minimale est très courte et offre la possibilité de réaliser des plans presque macro. Toutou qui boulote ses croquettes filmé à 240 images seconde prend un relief saisissant. Pour vous rendre compte, voici en tout cas une petite vidéo test, réalisée avec les deux iPhone 6 et 6 Plus – le Plus apporte un confort lié à la stabilisation optique incomparable et permet des ralentis en mouvement – en condition courante, sans éclairage particulier, ni pied.



Autonomie

L’autonomie n’est pas le point fort des iPhone,et ça fait un moment que ça dure. Avec cette génération, les espoirs d’une amélioration tenaient à l’augmentation de la taille des batteries. Finalement, l’iPhone 6 arrive avec une batterie 1810 de mAh, 3.82 V et l’iPhone 6 Plus avec une batterie de 2915 mA, 3.82 V. L’iPhone 5s embarque, à titre de comparaison, une batterie de 1560 mAh.

Il est très délicat de donner des chiffres pertinents quant à l’autonomie des smartphones ; celle-ci est terriblement liée à des paramètres d’usage (qu’est-ce qu’on fait avec son iPhone), de réseau (la puissance d’émission des antennes cellulaires varie considérablement), de luminosité écran, notamment.

Nous avons opté pour plusieurs types de mesure : une estimation subjective en utilisation quotidienne, lissée sur plusieurs jours, et un stress test, visant à vider la batterie aussi vite que possible. Sur ces deux tests, le constat est le même : l’iPhone 6 fait jeu égal, ou à peine mieux, avec l’iPhone 5s, l’iPhone 6 Plus dispose d’une autonomie environ 20 % supérieure. Comptez environ 5/6 heures d’utilisation intensive pour l’iPhone 6, et 6/7 heures pour l’iPhone 6 Plus. On pourra, ainsi, se retrouver à court de batterie en fin de journée sur un iPhone 6, voire obligé à faire une recharge intermédiaire en cas de fort usage. L’iPhone 6 Plus tient, lui, la journée, et dispose souvent d’une petite réserve de l’ordre de 20 % à la fin de celle-ci.

Globalement, les iPhone 6 et 6 Plus restent dans le milieu de classement quant à l’autonomie des smartphones, avec des performances inférieures au Xperia Z3 de Sony, au S5 de Samsung et au M8 de HTC.

Performances

Le grand saut, en matière de performances, a été l’arrivée du processeur A7 64 bits sur les iPhone 5s et 5c. Les iPhone 6 embarquent un processeur A8, double cœur, cadencé à 1,4 GHz (1,3 GHz pour le A7). Le A8 est une mise à jour incrémentale du A7, dont il conserve l’architecture Cyclone. Logiquement, l’amélioration des performances CPU est significative, mais demeure globalement modeste. GeekBench 3 estime celle-ci à 15 %. BaseMark II, qui ne mesure pas uniquement les performances CPU, voit lui un gain global supérieur à 35 %. Les deux iPhone 6 et 6 Plus font, soit dit en passant, strictement jeu égal.


Les iPhone 6 et 6 Plus se distinguent, par contre, un peu sur le plan des performances graphiques : globalement, l’iPhone 6 Plus est plus rapide – un GPU qui adopte une fréquence de fonctionnement un peu supérieure ? – que son petit frère, avec, selon les tests, des résultats supérieurs de 2 à 10 %. Ce léger différentiel, en tout état de cause, est “absorbé” par le nombre de pixels très supérieur que l’iPhone 6 Plus gère 2,1 millions contre 1,05 million : 1920×1080 pixels pour l’iPhone 6 Plus, 1334×750 pixels pour l’iPhone 6.

À l’usage, les performances sont très voisines sur les deux appareils, et en hausse par rapport à la génération précédente, avec un gain de l’ordre de 15 à 20 % par rapport à l’iPhone 5s.


Au final

Après 15 jours de tests intensifs, la nouvelle génération d’iPhone 6 et 6 Plus se dévoile pour ce qu’elle est : la conversion d’Apple aux joies des grands écrans, ou des très grands écrans. En chemin, Apple abandonne l’idée d’un iPhone qu’on peut confortablement utiliser d’une main, et cette rupture pourra ne pas faire que des heureux.

Sorti de ce changement d’importance, les iPhone 6 et 6 Plus s’inscrivent, au niveau des performances, dans la suite logique des iPhone 5s et 5c. Performances un peu en hausse, autonomie au moins égale, ou un peu supérieure pour l’iPhone 6 Plus, appareil photo et vidéo qui se bonifie doucement, sans rupture majeure là non plus.

Cette gamme devrait convaincre les adeptes des grands écrans, qui se trouvaient trop à l’étroit sur les 4″ des iPhone 5 et 5s / 5c. Ceux qui s’y sentent, au contraire, très à l’aise, doivent bien considérer le changement ergonomique qu’implique des écrans plus grands avec de se décider à passer aux iPhone 6. Les iPhone 5s ne perdent pas tout leur intérêt du fait de l’arrivée de cette nouvelle gamme.

Malgré ce grief, on s’adapte vite à l’iPhone 6, et le changement de prise en main, selon ce qu’on fait avec, devient rapidement naturel. À ce stade, l’apport d’un écran plus vaste est appréciable.

L’iPhone 6 Plus, lui, s’adresse vraiment aux utilisateurs qui veulent avoir un ressenti tablette sur leur smartphone. Clavier plus grand, qui apporte un accès à des fonctionnalités supplémentaires, écran d’une qualité impeccable confortable pour regarder des vidéos, et vraiment génial lors de la prise de photo ou de l’enregistrement de vidéo. Mais l’iPhone 6 Plus, qu’on ne s’y trompe pas, n’est pas une bête qu’on dresse d’une seule main !