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Édito

Il y a 7 ans, 7 jours

Toutes les semaines, MacPlus vous propose un voyage temporel parmi les archives néolithiques du site. 7 ans, 7 jours d’actualités remises au goût du jour ! Semaine du 10 au 16 novembre 2003.

Yrogerg

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Il y a 7 ans, 7 jours, c’était…


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La pub pour le G5 retoquée

Alors voilà : on propose le meilleur ordinateur du monde, on le dit, on s’en félicite, et finalement on a pas le droit de le dire. C’est eux qui le disent. Eux ? Le BVP britannique, l’organisme de régulation de la publicité, qui ne voulait pas admettre que l’« ordinateur personnel le plus rapide et le plus puissant du monde » était la parfaite réalité descriptive du tout nouveau G5 et qu’il n’y avait donc pas lieu de le décrire autrement. Les bougres allaient jusqu’à dire que l’accroche était trop « équivoque » et qu’elle ne s’appuyait sur aucun test scientifique, en ajoutant qu’ils avaient même trouvé des PC égalant les performances du dernier né de la firme de Cupertino. Ahah. Bref, il fallait revoir la copie pour un message admissible : G5, un ordinateur au moins aussi puissant qu’un PC ? Ah.

Lire « La pub du PowerMac G5 rétoquée »


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Sony qui lançait son iPod killer

Eh oui, c’était la grande époque du baladeur MP3 à tout va, en veux-tu, en voilà, pour concurrencer la vache à lait d’Apple, le désormais célèbre iPod. Alors, tout le monde s’y mettait, à toutes les sauces, à toutes les tailles. Et là, c’était au tour de Sony de dégainer son missile : écran TFT 3,5 pouces couleur, fonction d’enregistrement, fonction vidéo. Pas moins. Autant dire qu’à l’époque, ce type de bidule sortait de l’ordinaire. Du coup, la communauté Mac se demandait si la firme allait continuer à faire l’iPodpotame et si elle allait enfin consulter un iPodhérapeuthe pour soigner son iPodcondrie. Depuis, nous savons tous que la firme aurait du réagir en temps et en heure en proposant par exemple un téléphone qui aurait intégré un écran suffisamment large pour embarquer vidéos et musiques. Mais ça, fallait pas rêver, hein. Ah.

Lire « iPod Killer by Sony (suite) »


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Un iTunes social ?

Un nouveau phénomène était en train d’apparaître aux Etats-Unis, notamment sur les campus universitaires. Depuis qu’il était possible de partager ses listes de lecture au travers d’iTunes, les goûts musicaux venaient compléter le panel de critères sociaux permettant une discrimination optimale. Ainsi, désormais, il faudra prendre en compte la playlist musicale en plus des critères habituels pour pouvoir juger arbitrairement une personne. Bref, dis moi ce que tu écoutes, je te dirais qui tu es. Heureusement, ce phénomène de découverte des goûts musicaux de son voisin n’a pas donné d’idées aux majors ou autres firmes à pomme, et la musique est restée avant tout anti-sociale, comme il se doit, avec aucun intérêt affirmé pour le partage des goûts musicaux et phénomènes d’appartenance. Exit, donc, tout projet de réseau social tournant autour de la musique. Ah.

Lire “Dis-moi ce que tu écoutes…


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Paye ton big mac !

Qu’est ce qu’on se marrait à l’époque ! On avait l’ordinateur le plus rapide au monde, le G5 (c’est la pub qui le disait, pas nous), et il nous en fallait encore plus. Et donc, à l’image du tuning automobile, on bidouillait nos machines pour en faire des bêtes de courses et frimer lors d’opérations de calculs hyperflops. Ainsi, l’université de Virginia tech proposait une machine composée de briques mac capable d’effectuer des milliards de flops à la seconde (10 280 exactement, pour les amateurs de chiffres). Flopy, flopa, la machine était composée de pas moins de 1100 processeurs power G5 bipros, tagada, pour la modique somme de 5 millions de dollars (A priori, l’écran et les accessoires étaient inclus). Bref, d’autres projets étaient également en cours pour, là encore, battre tous les records où les flops étaient plus voluptueux les uns que les autres. Et vous, votre machine, elle flop à combien ? Ah.

Lire « Virginia Tech : ça pulse ! »


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Pepsi ou coca ?

Boro nous faisait un petit rappel d’une anecdote que tout bon Mac addict est sensé connaître. D’un côté, John Sculley avait été débauché par Steve Jobs en 1980 de chez Pepsi pour rejoindre Apple. A cette même époque, Bill Gates avait réussi à convaincre Steve Ballmer d’abandonner la Standfort Graduate School of Business pour rejoindre Microsoft, afin de l’épauler dans ses fonctions de CEO. Eh bien, à voir les deux personnages, on se demande quelle boîte apportait le plus d’épanouissement personnel. Et visiblement, en visionnant cette vidéo (ici), il y a fort à parier que c’était du côté de Redmond où il faisait bon vivre et qu’on avait la symbolique « patate ». A moins que ce ne soit substance chimique qui aurait influencé notre ami, Steve Ballmer. On peut se poser la question. Ah.

Lire “Cette sensation s’appelle…

A la semaine prochaine !

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