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Édito

Il y a 7 ans, 7 jours

Toutes les semaines, MacPlus vous propose un voyage temporel parmi les archives néolithiques du site. 7 ans, 7 jours d’actualités remises au goût du jour ! Semaine du 1er au 7 mars 2004.

Yrogerg

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Il y a 7 ans, 7 jours, c’était…


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L’avenir du câble compromis

L’Internet français était en pleine ébullition à cette époque, on peut le dire. Il y a encore peu, on promettait d’atteindre rapidement les limites physiques de l’ADSL avec des débits relativement faibles si on les compare à ceux que nous avons maintenant, mais la technologie en aura décidé autrement et le trublion de l’Internet français, Free, proposait déjà un abonnement de plusieurs mégas par seconde, et tout cela sur nos bonnes vieilles lignes téléphoniques déjà en places. Du coup, on commençait sérieusement à douter de l’autre technologie concurrente, le câble, qui nécessitait moult investissements en infrastructures pour un résultat finalement assez similaire. Ainsi, la première victime s’appelait Noos, dont le principal actionnaire Suez, souhaitait reprendre ses billes investies quand le patron de France Telecom, Thierry Breton, affirmait de son côté le souhait de sortir son groupe de cette activité pas assez rentable, selon lui. Manquerait plus que l’ADSL puisse approvisionner de la télévision numérique, et là, ce serait le pompon. Ah.

Lire « .fr : l’avenir du Câble »


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Du ramdam pour le nouvel Apple Store

Encore un événement bien banal finalement que l’ouverture d’un Apple Store et pourtant, beaucoup de remue-ménages pour celui qui venait d’ouvrir ses portes. Autant, à y regarder d’un peu plus près, il n’a rien de plus que les autres et possède les mêmes artifices commerciaux et la même disposition que les autres magasins estampillés d’une pomme. Alors, pourquoi autant de ramdam autour de l’ouverture de cette nouvelle boutique, allant jusqu’à rameuter le gourou de la firme de Cupertino en personne, Steve Jobs, pour la cérémonie d’inauguration ? Pourquoi l’événement a t-il attiré également plus de 1500 curieux ? Eh bien, parce que l’ouverture de ce nouveau magasin à la pomme était située dans la belle cité de San Francisco, si représentative de la pomme, avec ses Macworld, Keynote et autres WWDC. Mais tout cela n’était en réalité qu’un prétexte. Tous les chalands étaient évidemment là pour profiter des paniers garnis à la pomme, avec moult artifices technologiques innovants, tout en ayant l’objectif de passer la meilleure journée qui soit, sous le soleil californien. Evidemment. Ah.

Lire « AppleStore à San Francisco »


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Némo récompensé

Non, mais, quel le rapport entre Némo et le monde de la pomme ? Effectivement, on pourrait se poser la question, car le poisson ne ressemble pas à une pomme, c’est vrai. Eh bien, plusieurs choses figurez-vous. En effet, le célèbre film mettant en scène moult poissons clown venait de remporter l’Oscar du meilleur film d’animation pour l’année 2003. Toujours pas ? Eh bien, le dit film a été réalisé par la société Pixar. Ok, il y a du Steve Jobs derrière tout ça me direz-vous. Oui, mais bien plus. En effet, c’est bien la pomme qui a été saluée également lors de cette cérémonie puisque une partie du film a été réalisée sous le logiciel professionnel Shake 3, notamment pour traiter les effets spéciaux du film. Et si l’on replace cette récompense dans son contexte, cette dernière venait à point nommée puisque Disney venait d’annoncer la fin de son partenariat avec la société sœur d’Apple. Pire, Disney avait décidé de faire fis de pommes en choisissant Microsoft pour le développement de nouvelles technologies de distribution de films. Bref, une belle revanche pour Pixar qui ne laissera, malgré tout, pas indifférente la société Disney, si l’on se projette quelques années plus tard. Ah.

Lire « Nemo, Shake 3 récompensés ! »


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Des petites surfaces pour les Apple Store

On venait tout juste d’inaugurer le tout dernier Apple Store flambant neuf, sur la terre californienne, qu’on se posait déjà la question de savoir si tous ces artifices onéreux étaient la solution idéale pour augmenter la présence commerciale de la firme à la pomme. Car, si on est tous ravis de pouvoir flâner dans les 2 000 mètres carrés d’un Apple Store « adulte », le coût des infrastructures et des investissements pour ouvrir une seule boutique nécessitent un certain rendement pour que la pomme puisse rentrer dans ses frais rapidement. Par ailleurs, ces surfaces ne permettent pas d’avoir une relation de proximité avec ses plus grands fans, et donc de ne pas toucher une cible plus large. Qu’à cela ne tienne, on prédisait les « junior Apple Store », des Apple Store plus petits, au plus près des consommateurs. Du coup, on se disait que cette démarche ressemblait à certaines stratégies provenant de la grande distribution et on se mettait à rêver d’un Apple Store « senior » qui couvrirait dignement la surface d’un centre commercial régional de 40 000 mètres carrés, ou encore d’Apple Store « stagiaire », au bout de la rue, qui permettrait d’acheter une « magic mouse » jusqu’à minuit. Ah.

Lire « Vers des “Junior Apple Stores” ? »

A la semaine prochaine !

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