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Matériel

15 jours avec l’iPod touch

Cedman

Publié le

 

Par

Déballage
L’emballage est identique à ce que nous connaissons déjà pour l’iPod à une variante près : l’iPod Touch est présenté, comme son cousin l’iPhone ! Dommage, on devra se contenter d’un petit présentoir en plexiglas qui permet à l’iPod Touch de rester à la verticale.
Impossible de tenir plus longtemps sans se jeter sur l’objet ! 120 grammes de pur concentré technologique : connexion WiFi, écran couleur « haute résolution » » de 3,5 pouces, interface multipoint qui tient dans à peine 8 mm d’épaisseur, la Rolls des iPod.

« It works like Magic ! »

C’est la phrase prononcée par Steve Jobs lors de la présentation de l’iPhone il faut déplacer le volet de verrouillage pour pouvoir accéder au menu principal du baladeur. Première surprise, l’objet réagit au doigt le plus rapidement du monde, pas de latence ni de lenteur, il suit vraiment vos mouvements et ce, au millimètre prêt ! Définitivement impressionnant.

Côté utilisation

Tout comme ses prédécesseurs de la gamme iPod, l’interface de l’iPod touch est ultrasimple. Elle est composée d’un « bureau » (« springboard ») regroupant les applications annexes : Safari, YouTube, Calendrier, Contacts, Horloge, Calculette, Réglages.
Et d’un Dock qui, lui, contient les applications relatives au baladeur : Musique, Clips vidéo, Photos, iTunes. Un simple toucher du doigt sur l’une des icônes et l’application se lance.

Coté iPod, la différence se situe sur le fait que vous pouvez réellement toucher votre musique et cela prend toute son ampleur avec le multitouch. D’une simple impulsion vous faites défiler le contenu de votre iPod, contenu lui-même divisé en catégories personnalisables comme : listes de lecture, artistes, morceaux, clips vidéo. A noter que les parties artistes, morceaux ou albums reprennent la particularité de pouvoir naviguer par ordre alphabétique en passant de lettre en lettre, à la manière d’un répertoire, en passant par la barre de raccourcis prévue à cet effet et se situant sur la partie droite de l’écran. Un pivotement de l’appareil vers la gauche ou la droite pour le placer en position horizontale le fait automatiquement basculer en mode Cover Flow. Un simple glissement du doigt suffit pour faire défiler vos albums et une tape sur la jaquette vous donne accès à la liste des morceaux playlist complète de ce dernier.

Une fois votre morceau en écoute, la jaquette apparaît à l’écran ainsi que les contrôles sonores, lecture/pause et l’avance/retour . Une tape sur la jaquette et les contrôles de répétition du morceau, sa ligne de durée ainsi que l’ordre aléatoire (le « shuffle ») s’affichent. Fonction pleinement similaire concernant les vidéos, à la différence que celles-ci ne peuvent être visionnées qu’en mode horizontal. A noter : la qualité d’affichage vraiment impressionnante !
Comme d’habitude, le contenu de votre iPod est géré par iTunes. La fonction « « On the Go » qui permet de créer une liste de lecture à la volée est, grâce au multitouch, d’un plaisir fou à utiliser. En parlant d’iTunes, la partie magasin en ligne de ce dernier est intégré à l’iPod touch. Pour peu que vous soyez connecté à un réseau WiFi en pleine rue ou au restaurant, il vous sera alors possible d’acquérir en deux coups de cuillère à pot le dernier tube de la sculpturale Rihanna ! Seul regret, l’impossibilité d’acheter autre chose que de la musique, donc pas de clips vidéos, ou de jeux (ceux actuellement en vente ne sont pas compatibles), ni de podcasts. Dommage, on espère que cela viendra dans une prochaine mise à jour.

Le processus d’achat est simple et rapide. En effet, il nous a fallu 10 secondes ; et 15 de plus ; pour rapatrier le morceau choisi et l’écouter. A propos d’écoute, les fameux écouteurs blancs restent le point perfectible de la gamme iPod : ces derniers couvrent toujours à peine le bruit extérieur, ce qui oblige l’utilisateur à toujours hausser le volume.

Une photothèque décevante…

Passé l’euphorie de la découverte, et du coté ludique de faire défiler par un glissement de doigt ou encore d’effectuer des zooms d’un pincement de doigt ; la partie photo de l’iPod touch s’avère décevante. Lors de l’importation les images sont réduites. De fait, lors d’un simple zoom, la qualité de l’image devient pixellisée. Impossible enfin d’envoyer ses images vers la galerie web de .mac ou encore de placer directement une image en fond d’écran (obligation d’aller dans le panneau des réglages), contrairement à l’iPhone qui, lui, possède ces options.

Un agenda à parfaire…

Disponible quasiment depuis les origines de l’iPod, le carnet d’adresses ainsi que le calendrier font partie intégrante de l’iPod touch, mais voilà, il y a un « mais ». Si cette version de Contacts se révèle aussi simple que celle de l’application située sur votre Mac, c’est hélas différent pour le calendrier, qui semble avoir été développé en dépit du bon sens, voire même avec les pieds !
Il est en effet impossible de lui adjoindre un événement, ce qui pour un agenda est plus que dommage. De même, lors de la synchronisation avec iCal, le calendrier ne fera pas de différence entre vos différents événements. Ces derniers seront tous regroupés sous un même calendrier. Et contrairement aux autres iPod pas de fonction bloc note, un comble lorsque l’on sait que l’iPod touch dispose d’un clavier !


Suite en page 2

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